J'ai découvert le shiatsu et ses bienfaits il y a plus de 25 ans en qualité de receveuse (personne qui reçoit un shiatsu). Je pensais déjà que notre santé devait être envisagée sans dissocier le corps du mental. Le shiatsu m'a permis de tester et de confirmer l'utilité d'une prise en compte globale de la personne sur le plan de la santé. Le mental et l'émotionnel sont trop souvent négligés. Aussi, lorsque j'ai choisi de tourner une page de ma vie professionnelle pour m'orienter vers un métier où le bien-être de la personne serait au centre, le shiatsu s'est naturellement imposé. Il me permet maintenant de mettre au service d'autrui une pratique qui contribue au mieux-être physique et mental. 

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J'ai suivi une formation de 3 ans en Koho Shiatsu et Energétique traditionnelle chinoise à l'Ecole  de Shiatsu Fuji Taishan de Bordeaux (le nom vient récemment de changer pour devenir Ecole de Shiatsu Atsuko). Ce centre de formation est agréé par le SPS (Syndicat Professionnel de Shiatsu) et certifié QUALIOPI (Label Qualité). Le cursus comprend, en plus du shiatsu et de l'Energétique chinoise, une formation en anatomie, physiologie et Kinsey Seitei (shiatsu postural). La validation de l'intégralité du cursus m'a permis de devenir praticienne en shiatsu.

 

J'ai par ailleurs obtenu la certification de Spécialiste en Shiatsu. Cette certification est enregistrée au RNCP (Répertoire National des Certifications Professionnelles). Enfin, pensant qu'il est indispensable de se former en permanence, je continue à faire régulièrement des stages afin d'enrichir mon approche par de nouvelles techniques (ex. en lombalgie, cervicalgie, diaphragme ...). 

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J'ajoute que, le shiatsu, en tant que pratique manuelle japonaise, constitue pour moi un chemin complémentaire à mon parcours de pratiquante d'arts martiaux japonais (judo et aïkido). Arts martiaux et shiatsu, qui peuvent sembler contradictoires pour le néophyte, sont étroitement liés lorsque l'on approfondit les arts martiaux.

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